24 décembre 2014

Joyeux Noël !!!



Joyeux Noël à vous tous !!! 

Que le Père Noël vous apporte cadeaux, bonheur, joie et amour !!!

Y.R



29 novembre 2014

Clair vous reboote le système !!!


Vous connaissez certainement Clair Jaz. Vous avez sans doute croisé son incroyable énergie à l'occasion de ses interprétations que celles-ci soient liées au théâtre ou à la télévision.

Et bien si vous souhaitez la voir en chair et en os, je vous conseille de vous rendre à la Comédie Contrescarpe dans le 5ème arrondissement de Paris.

Et si vous voulez rire, vous DEVEZ aller voir son spectacle "Clair Jaz augmente la réalité" !!!

Tout comme son premier show, ce nouvel opus est un pur bonheur d'humour, d'énergie et de générosité.

Clair dépeint avec brio ce qu'est devenue notre société, prisonnière de la technologie et de ses outils censés nous aider à communiquer, mais qui nous enferment dans un monde virtuel bien loin de la réalité et du contact humain.

Au fil de ce spectacle, l'artiste nous renvoie à ce qui fait notre presque quotidien; l'addiction au numérique.

On rit avec elle tout en sachant que l'on rit de nous-même, mais tout ceci est si bien amené et traité que l'on ne peut que l'en remercier.

J'ai vraiment adoré et je ris encore en repensant au sketch de la maison de retraite qui est, à mon sens, une véritable perle d'écriture et encore plus d'interprétation. On s'y croirait !!! 

Donc je vous le dis mes amis, courrez voir "Clair Jaz augmente la réalité" et guettez les salles de province qui auront la chance d'accueillir ce spectacle.



Je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager le teaser de ce show, mais aussi de faire découvrir ou revoir un de mes sketchs préférés de Clair Jaz " Le distributeur de billets".

Alors laissez tomber pour un instant vos portables et tablettes, pour vous caler devant votre écran... Oui je sais, ce n'est pas comme ça que l'on va se sevrer mais ça vaut vraiment le coup et puis on aura le temps d'arrêter demain...

Y.R




24 novembre 2014

Juste pour vous...

L'un de mes plaisirs à Noël... M'enivrer du parfum de la jacinthe. 

  
Alors pour vous, à défaut de son parfum...

Y.R

16 novembre 2014

Quand un petit merle qui ne sait pas chanter, cherche sa voie...


 
Niché au creux d'une ruelle parisienne, un ancien atelier d'artisan dont le temps avait doucement fait oublier la raison d'exister, s'est joliment transformé en un petit théâtre. 

Une entrée discrète mais à l'ambiance chaleureuse grâce aux flammes presque timides de petites bougies, un lourd rideau de velours et vous voici dans une salle où une vingtaine de chaises se partage l’espace avec une scène pas plus grande qu'un mouchoir de poche. Ça tombe bien, c'est aussi le nom de ce petit théâtre, "Le mouchoir de poche"...

Quand la lumière s'endort, vous assistez au réveil d'un petit merle. Un oisillon qui se demande pourquoi ses frères et sœurs ne sont pas comme lui et pourquoi il ne ressemble à personne. 

Durant 1h20, sur une musique de Dario Le Bars, Hugo Rezeda vous conte l'histoire de ce merle blanc qui cherche sa voie à défaut de savoir chanter. Tout au long de ce récit vous suivez la quête du petit volatile vers une terre que beaucoup d'entre nous cherchent aussi; le bonheur.

Hugo sert parfaitement bien le texte d'Alfred de Musset. Dans un décor dépouillé, l'espace est petit à petit comblé par l'histoire qu'il nous raconte. Les paroles succèdent aux mimiques, tandis que vous prenez place à ses côtés, dans ce voyage de l'imaginaire.


Alors vous vous abandonnez doucement, vous partez à tire-d'aile à la rencontre des personnages, vous vous laissez porter par ce mouchoir de poche comme Aladin par son tapis et vous vous demandez si au fond, nous ne sommes pas tous de petits merles blancs...

Y.R

05 octobre 2014

Les familles c'est nous !

Pendant que Jean-Eudes et Marie-Eugénie Gratouille de la Patarière, Charles-Eluard et Anne-Cécile Ditonton Pourquoi Tutousse et leurs amis de la bande à l’échevelée défilaient dans leurs quartiers de prédilection où les cols Claudine et les serre-têtes sont de rigueur si l'on veut respecter le dress-code de sa condition. Accompagnés par des nostalgiques des heures les plus sombres de notre Histoire, dont il faudrait se méfier en temps de guerre, sans oublier les intoxiqués à l'eau bénite rance... Les gens normaux, eux, se réunissaient en famille, Place de la République ce matin.

Dans une ambiance détendue et bon enfant, lui, elle, nous, vous, bref tout le monde souriait, faisait connaissance, se retrouvait et partageait un joli moment d'humanité.

J'ai eu la chance d'en être et pour ceux qui n'ont pas eu ce bonheur ou ceux qui nous imaginent sous la forme de mangeurs de petits n'enfants comme aimerait leur faire croire la bande à l'autre dépeignée, je vous invite à découvrir quelques clichés de ce moment.



 
Je tiens à remercier très chaleureusement ceux et celles qui ont gentiment posé pour ces photos et que tout le monde se rassure, la Force est avec nous puisque Spiderman est de notre côté (vous comprendrez en regardant les photos...).

 Et n'oubliez pas, L'AMOUR GAGNE TOUJOURS !!!

Y.R











21 septembre 2014

Entre skates et objectif...


Parmi mes passions, la photo figure en bonne place et aujourd'hui je suis très heureuse de vous présenter mon dernier travail.

Véronique, une de mes amies m'a fait l'amitié de me servir de modèle et je dois dire qu'elle a parfaitement rempli son rôle. Je l'en remercie énormément.

J'espère que vous aimerez le résultat de cet après-midi passé au milieu des graffitis et des skateboards de Bercy.

Je laisse les clichés vous raconter cette histoire...

Y.R


















09 août 2014

Mais que se passe-t-il donc sous les jupes des filles ?

Quand j'ai vu l'affiche du film d'Audrey Dana, j'ai souri. Quand j'ai lu les noms du casting je me suis dis " ah ouais quand même..." 

Imaginez un peu :


Quand j'ai vu le film j'ai fait "wahouuuu".

On peut dire que la réalisatrice, qui joue aussi dans le film, a fait très fort !... Réunir onze femmes aussi attirantes et talentueuses, c'est déjà une perf' mais en faire un film qui parle aussi "cash" des femmes, là je dis "Bravo" !!!

J'ai lu que "Sous les jupes des filles" cassait les codes... Tu m'étonnes ! Là on ne nous présente pas les femmes comme (souvent) des êtres ultrasensibles, chiantes, indécises, folles de shopping ou en constante recherche de l'idéal masculin pour espérer exister à travers son ombre. Que nenni ! 

Audrey Dana nous présente onze êtres, onze vies, onze forces.

Si l'une est bourrée de testostérone au point de manager les hommes avec une poigne de fer dans un gan Gucci, une autre est une mère et épouse qui rêve d'arc-en-ciel même quand il ne pleut pas, tandis qu'une troisième ouvre les yeux sur l'infidélité de son mari et se réveille plutôt que de s'effondrer. Ce ne sont là que des exemples car ces onze femmes nous présentent des visages tous aussi divers et variés les uns des autres. Et franchement, je pense que ces onze vies, pourraient être les onze facettes qui composent le caractère, les envies, les aspirations, les faiblesses, les forces et les désirs de toutes les femmes. 

Car du désir je crois que l'on peut dire que ce film en parle. Je dirais même mieux, il en parle vraiment ! Rien à voir avec les réalisations qui mettent en scène la sexualité des femmes dans du coton ou qui la présentent à travers un voile de bienséance au risque de passer à côté de la vérité. "Sous les jupes des filles" filme les Femmes, raconte les Femmes. Même si quelques fois les choses sont dites ou montrées sans filtre, il a le mérite de le faire. Il n'est pas seulement question de sexe je vous rassure, il parle aussi d'amour. Et que serions-nous sans amour, n'est-ce pas mesdames ??? 

Ceci dit, je me permets de poser en petit bémol dans cette partition. Audrey Dana a eu la bonne idée de placer dans sa galerie de personnages, une charmante, désirable, sexy, bref top méga canon lesbienne en la personne d'Alice Taglioni. Et pour avoir eu la chance de la croiser dans la rue, je peux vous dire que la jeune femme est tout simplement sublime... Bref, revenons à nos goudoux. Je disais donc que nos avons la chance de voir la charmante Alice dans la peau d'une femme qui aime les femmes (très bonne idée d'ailleurs, les autres devraient aussi y penser...  *;) Clin d’œil). Là où les choses sont pour moi quelques peu irréalistes c'est quand une de ses compagne de jeu lui tombe dans les bras, comme ça, dès le premier sourire. Alors là, j'aimerais démystifier une idée assez souvent répandue... ÇA NE SE SE PASSE JAMAIS COMME ÇA !!!!! Au contraire !! On galère plus qu'on ne se pâme d'autosatisfaction d'avoir un charme à toute épreuve !!! Et encore quand ça marche !!! Ce qui n'est pas souvent le cas !! Voilà, qui est dit et ça va mieux maintenant que c'est fait...

Enfin et avant de terminer cette chronique, je voulais souligner le jeu tout simplement extraordinaire de justesse et de sensibilité d'une des comédiennes. La jolie et très talentueuse Alice Bélaïdi. Franchement j'ai adoré son interprétation de l'assistante timide et dévouée qui, malgré une tragédie dont je ne vous dirai rien, continue à sourire aux autres et à la vie. Cette jeune femme a dans le regard ce quelque chose qui accroche le vôtre et vous harponne le cœur.


Alors mesdemoiselles, mesdames, n'hésitez pas à emmener vos chéris voir ce film, histoire qu'ils comprennent un peu mieux ce qui se passe "Sous les jupes des filles"...

Y.R



13 juillet 2014

Une gueule d'ange sous la pluie...


Quand Véronique m'a appelée en me disant qu'un de ces amis cherchait quelqu'un pour le prendre en photo au Trocadéro, sous la pluie, j'avoue que j'ai été surprise... 
 
Elle connaît mon amour de la photo et le challenge m'a plu... 
 
Faut dire que le jeune homme est danseur professionnel... Du calme les filles !... 
 
Toujours est-il que je suis très heureuse de vous présenter Monsieur Michaël Häfliger, son costume jaune et sa gueule d'ange... J'espère que vous aimerez...
 
Y.R